Tout aîné peut vivre une situation de maltraitance, sans égard au sexe, à l’âge, au lieu du domicile, au statut socioéconomique ou à l’origine ethnique. Par contre, certaines caractéristiques personnelles peuvent rendre un aîné plus vulnérable à la maltraitance.
La détérioration de l’état de santé physique ou mental, la présence de déficits cognitifs, la surconsommation de médicaments, l’apparition de comportements agressifs ou perturbateurs, une attitude de soumission ou une difficulté d’affirmation de soi et la difficulté à communiquer sont considérées comme des facteurs de vulnérabilité à la maltraitance.